Citation de PatriceG
Co-bélligérance américaine au Donbass ?
Entendre des propos sidérants, glaçants, qui font froid dans le dos comme on dit si bien, quand par exemple, on a la noblesse d'esprit ici -ne nous trompons pas sur cette condescendance- d'ouvrir une fenêtre à un présumé faucon de Russie, qui vient dire sa vérité aux français sans ambages, parce qu'il aime la France (*) qui parle sa langue comme on la parlait sous l'Empire avec fierté et distinction, veut aussi dire que la personne qui reçoit a changé et que puisqu' elle sait que c'est vrai et qu'elle se remet d'un siècle de propagande idéologique n'a pas d'autre ressource (intellectuelle) de dire que ce n'est pas vrai, sans autre argument et qu'elle rejette ..
Dans le Donbass, la guerre fait rage, le front ukrainien subit des revers cuisants, sanglants, des pertes humaines importantes. Autant on scrute à l'infini les empreintes laissées du passage des russes ailleurs en Ukraine et on découvre à travers une terminologie de communication destinée à tromper l'opinion que tout n'est en vérité, ni plus ni moins que le visage de la guerre, -rien de nouveau sous le soleil -, autant pour le Donbass, un effrayant silence de communiqués est bien plus coupable de la part du pouvoir de Kiev. C'est même simple : quand on ne dit rien, c'est qu'il se passe des choses inqualifiables. Et après on espère qu'on noiera encore le poisson par une guerre de communiqués visant à renverser non seulement une situation à son désavantage par une avalanche de prétendues preuves accablantes contre l'assaillant mais surtout à masquer sous des artifices sa propre responsabilité. De telle sorte de facto que plus on accuse, plus on est responsable des atrocités guerrières que l'on fait courir à son propre peuple.
On a déja vu ça plusieurs fois en 11 mois de guerre en Ukraine : on susurre du côté ukrainien qu'il y a des combats d'une dure intensité au front, par là-bas, qu'on montre à peine du doigt et on parle surtout du reste pour invariablement minorer l'importance de ce qu'il se passe au front et surtout conditionner, désinformer l'opinion, eu égard à des choses annexes, comme si on veut lui faire prendre des vessies pour des lanternes. On se comporte ainsi pendant des semaines alors que des combats font rage au front et on cache tout sur le nombre de ceux qui laissent leur peau pour le salut de la patrie. Les mille procès hypothétiques pour crimes de guerre comme on dit et qu'on rapporte une fois que le terrain est nu d'assaillants, dits solennellement avec la plus grande fellonie n'y changeront rien. Mais il y a toujours des limites à tout et un beau jour le masque tombe et on voit enfin la réalité de cette guerre, ses tenants et ses aboutissants !..
Le Donbass qu'on le veuille ou non est fait de russes que le pouvoir de Kiev a voulu occire, cela explique par bien des côtés le déclenchement de cette guerre en Ukraine. Des combats terribles ont eu lieu depuis 2014. Admettons qu'on ne veuille pas voir l'appui de l'Otan (américains et anglais) pour régler le Donbass en dépit des accords internationaux. Aujourd'hui - les faits sont tétus - : on assiste à une boucherie plus que jamais qui devrait normalement alerter l'opinion, hormis la propagande habituelle occidentale ici à front renversé. Les forces ukrainiennes sont sommées de battre en retraite, accusant des milliers de morts. Quand Zelinsky a dit en septembre à la faveur d'un nouvelle mobilisation de réservistes et d'appelés, ces fameux 300000 côté russe, que Poutine envoyait ses troupes à l'abattoir, il eût fait mieux de se poser la question de la survie de ses propres troupes. La seule et unique exhortation de Zelenski sur le sujet à l'égard des américains est un appel à renouveller son arsenal de guerre qui s'épuise au front afin de réamorcer l'offensive finale qui est que tout russe débarrasse le plancher de l'Ukraine alors qu'ils y sont présents historiquement. Alors que vont faire les américains ? de la surenchère en sophistication d'armes de guerre les plaçant délibérément en situation de co-bélligérance dans le conflit ukrainien ou tenter dans ce flou artistique volontairement entretenu par le pouvoir de Kiev d'aller vers une escalade de la guerre dont ne voit pas le bout, autrement dit une troisième guerre mondiale : Otan contre Russie sur le front est de l'Ukraine à proximité des frontières russes. Ou alors transformer pour les américains cette nouvelle configutation dans le sens du chemin de la paix. La balle pour l'heure est dans le camp des américains, va-t-on ajouter du sang au sang !.. Il nous avait semblé que les américains voulaient se désengager des théâtres de guerre à travers le monde ? C'est peut-être le moment de le montrer !.. 27 novembre 2022.
Les vents d'hiver ne risquent pas de refroidir les piscines, il n'y en a pas. Je répète, les vents d'hiver ne risquent pas de refroidir les piscines .. Oui Zelenski apparaît aujourd'hui comme faisant tout pour sauver son peuple, mais à supposer qu'il arrive à chasser l'ennemi des frontières de l'Ukraine, je n'ose croire qu'il fera figure de héros national tellement il en a gros sur la conscience, autant de ce qu'il prête aux autres avec acharnement et plus encore avec ce qu'il ne dit pas. Non, il n'a rien de l'étoffe d'un héros quand il cache au monde entier -puisqu'il s'exprime chaque jour en vidéo-conférence ou qu'on lui permet de le faire -, la réalité de cette guerre au front . Plutôt que d'aller vers l'escalade, encore confirmée ce jour et d'enfumer les esprits, , tout homme sensé devrait arrêter illico presto cette guerre fratricide au front, cette boucherie qui prend des allures de guerre 14 sévissant dans une autre mesure que celle des témoignages de voitures balais qui enquêtent sur les terres brûlées laissées par l'ennemi qu'on nous distille à longueur de journée comme paroles d'Evangile. Cette technique paraît tellement bien huilée désormais qu'elle prend l'aspect de farce macabre, de fuite en avant pour masquer sa propre responsabilité sur son propre sol. Caniche de Biden ou apprenti dictateur ? 2 décembre 2022
Entendre des propos sidérants, glaçants, qui font froid dans le dos comme on dit si bien, quand par exemple, on a la noblesse d'esprit ici -ne nous trompons pas sur cette condescendance- d'ouvrir une fenêtre à un présumé faucon de Russie, qui vient dire sa vérité aux français sans ambages, parce qu'il aime la France (*) qui parle sa langue comme on la parlait sous l'Empire avec fierté et distinction, veut aussi dire que la personne qui reçoit a changé et que puisqu' elle sait que c'est vrai et qu'elle se remet d'un siècle de propagande idéologique n'a pas d'autre ressource (intellectuelle) de dire que ce n'est pas vrai, sans autre argument et qu'elle rejette ..
Dans le Donbass, la guerre fait rage, le front ukrainien subit des revers cuisants, sanglants, des pertes humaines importantes. Autant on scrute à l'infini les empreintes laissées du passage des russes ailleurs en Ukraine et on découvre à travers une terminologie de communication destinée à tromper l'opinion que tout n'est en vérité, ni plus ni moins que le visage de la guerre, -rien de nouveau sous le soleil -, autant pour le Donbass, un effrayant silence de communiqués est bien plus coupable de la part du pouvoir de Kiev. C'est même simple : quand on ne dit rien, c'est qu'il se passe des choses inqualifiables. Et après on espère qu'on noiera encore le poisson par une guerre de communiqués visant à renverser non seulement une situation à son désavantage par une avalanche de prétendues preuves accablantes contre l'assaillant mais surtout à masquer sous des artifices sa propre responsabilité. De telle sorte de facto que plus on accuse, plus on est responsable des atrocités guerrières que l'on fait courir à son propre peuple.
On a déja vu ça plusieurs fois en 11 mois de guerre en Ukraine : on susurre du côté ukrainien qu'il y a des combats d'une dure intensité au front, par là-bas, qu'on montre à peine du doigt et on parle surtout du reste pour invariablement minorer l'importance de ce qu'il se passe au front et surtout conditionner, désinformer l'opinion, eu égard à des choses annexes, comme si on veut lui faire prendre des vessies pour des lanternes. On se comporte ainsi pendant des semaines alors que des combats font rage au front et on cache tout sur le nombre de ceux qui laissent leur peau pour le salut de la patrie. Les mille procès hypothétiques pour crimes de guerre comme on dit et qu'on rapporte une fois que le terrain est nu d'assaillants, dits solennellement avec la plus grande fellonie n'y changeront rien. Mais il y a toujours des limites à tout et un beau jour le masque tombe et on voit enfin la réalité de cette guerre, ses tenants et ses aboutissants !..
Le Donbass qu'on le veuille ou non est fait de russes que le pouvoir de Kiev a voulu occire, cela explique par bien des côtés le déclenchement de cette guerre en Ukraine. Des combats terribles ont eu lieu depuis 2014. Admettons qu'on ne veuille pas voir l'appui de l'Otan (américains et anglais) pour régler le Donbass en dépit des accords internationaux. Aujourd'hui - les faits sont tétus - : on assiste à une boucherie plus que jamais qui devrait normalement alerter l'opinion, hormis la propagande habituelle occidentale ici à front renversé. Les forces ukrainiennes sont sommées de battre en retraite, accusant des milliers de morts. Quand Zelinsky a dit en septembre à la faveur d'un nouvelle mobilisation de réservistes et d'appelés, ces fameux 300000 côté russe, que Poutine envoyait ses troupes à l'abattoir, il eût fait mieux de se poser la question de la survie de ses propres troupes. La seule et unique exhortation de Zelenski sur le sujet à l'égard des américains est un appel à renouveller son arsenal de guerre qui s'épuise au front afin de réamorcer l'offensive finale qui est que tout russe débarrasse le plancher de l'Ukraine alors qu'ils y sont présents historiquement. Alors que vont faire les américains ? de la surenchère en sophistication d'armes de guerre les plaçant délibérément en situation de co-bélligérance dans le conflit ukrainien ou tenter dans ce flou artistique volontairement entretenu par le pouvoir de Kiev d'aller vers une escalade de la guerre dont ne voit pas le bout, autrement dit une troisième guerre mondiale : Otan contre Russie sur le front est de l'Ukraine à proximité des frontières russes. Ou alors transformer pour les américains cette nouvelle configutation dans le sens du chemin de la paix. La balle pour l'heure est dans le camp des américains, va-t-on ajouter du sang au sang !.. Il nous avait semblé que les américains voulaient se désengager des théâtres de guerre à travers le monde ? C'est peut-être le moment de le montrer !.. 27 novembre 2022.
Les vents d'hiver ne risquent pas de refroidir les piscines, il n'y en a pas. Je répète, les vents d'hiver ne risquent pas de refroidir les piscines .. Oui Zelenski apparaît aujourd'hui comme faisant tout pour sauver son peuple, mais à supposer qu'il arrive à chasser l'ennemi des frontières de l'Ukraine, je n'ose croire qu'il fera figure de héros national tellement il en a gros sur la conscience, autant de ce qu'il prête aux autres avec acharnement et plus encore avec ce qu'il ne dit pas. Non, il n'a rien de l'étoffe d'un héros quand il cache au monde entier -puisqu'il s'exprime chaque jour en vidéo-conférence ou qu'on lui permet de le faire -, la réalité de cette guerre au front . Plutôt que d'aller vers l'escalade, encore confirmée ce jour et d'enfumer les esprits, , tout homme sensé devrait arrêter illico presto cette guerre fratricide au front, cette boucherie qui prend des allures de guerre 14 sévissant dans une autre mesure que celle des témoignages de voitures balais qui enquêtent sur les terres brûlées laissées par l'ennemi qu'on nous distille à longueur de journée comme paroles d'Evangile. Cette technique paraît tellement bien huilée désormais qu'elle prend l'aspect de farce macabre, de fuite en avant pour masquer sa propre responsabilité sur son propre sol. Caniche de Biden ou apprenti dictateur ? 2 décembre 2022
