Le bonheur est une sale bête après laquelle j'ai toujours couru. A chaque fois j'ai cru l'attraper et il m'a griffé au visage comme un chat exaspéré. Après une convalescence de plusieurs mois je le reprenais en chasse et une nouvelle déconvenue récompensait mes efforts.
J'ai à peine quarante ans, mais à présent je m'épargne, je me materne.