Pour l’Hindou, l’expression de la personnalité n’a aucune valeur artistique. Le beau, c’est la puissance émouvante du vrai. […] Aucun mot sanskrit, dois-je dire, ne pourrait traduire « beau » dans cette phrase. La valeur esthétique d’une œuvre plastique se traduit par sa « conformité aux pramâna », celle d’une œuvre poétique par sa « richesse en rasa ».