Majorelle a soumis sa peinture à quelques lois élémentaires. Il croit encore au dessin, ce qui est vraiment une singularité à notre époque. Il croit à la nécessité du sujet qu'il souhaite pittoresque. Je lui disputerais seulement les méthodes auxquelles il croit devoir soumettre l'oeuvre plastique, et par-dessus tout une recherche trop scrupuleuse dans l'emploi de certaines matières, les métaux par exemple, qu'il lui arrive d'introduire dans ses tableaux et qui créent une sorte de compromis.