Je vis au vingtième siècle
et toi tu es là, allongée à mes côtés. Tu
étais malheureuse au moment de t'endormir.
Je ne pouvais rien y faire.
Je me suis senti abandonné. Ton visage
est si beau que je ne peux pas m'empêcher
de le décrire encore, et il n'y a rien à
faire pour te rendre heureuse quand
tu dors.