L’insatisfaction que faisaient naître en moi les gens avec qui je buvais ou couchais s’est transformée en mépris pour leur manque de maturité. Je brûlais de fuir leurs beuveries et leurs babillages. D’avoir des amis plus âgés et plus avisés avec qui débattre des vices et des vertus du monde. Mais cela ne se trouvait pas à Cambridge. Je me sentais comme un homme affamé à qui l’on offre des bonbons.