Seul parmi les condamnés, l'écrivain le plus prolifique de l'histoire du Troisième Reich n'eut aucun dernier mot.
On lui passa la capuche sur la tête. La trappe s'ouvrit. Rosenberg tomba.
Quelques heures plus tard on emporta son cadavre avec ceux des autres vers Munich, où il fut incinéré. Ces cendres furent jetées dans une rivière.