Nationalité : France
Né(e) à : Toulouse , 1928
Mort(e) à : Paris , le 07/12/2015
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Né(e) à : Toulouse , 1928
Mort(e) à : Paris , le 07/12/2015
Biographie :
Robert Marrast est un érudit français de la littérature espagnole.
Professeur émérite à l' Université de Bordeaux , il a également enseigné à la Sorbonne , l' Université de Rennes et de la Sorbonne Nouvelle Paris III.
Il se consacre en particulier à l'étude de José de Espronceda sur qui il a fait sa thèse de doctorat, mais a également étudié le théâtre de Cervantes.
Il a travaillé pour de grands magazines de internationaux et traduit Alberti (La pollution visuelle , le trèfle de floraison, d'un moment à l' autre, Sermons et violet, je suis un fou ... The Grove Lost), Juan Goytisolo et Luis Goytisolo, Pio Baroja, Valle-Inclan, Galdos, Carlos Fuentes, Octavio Paz, Max Aub, Guillermo Cabrera Infante, Josep Palau i Fabre, Luis Cernuda et Pere Gimferrer.
Il a dirigé la publication dans la Bibliothèque de la Pléiade des trois volumes du Théâtre espagnol du XVI siècle et le Théâtre espagnol du XVII siècle (I et II).
+ Voir plusRobert Marrast est un érudit français de la littérature espagnole.
Professeur émérite à l' Université de Bordeaux , il a également enseigné à la Sorbonne , l' Université de Rennes et de la Sorbonne Nouvelle Paris III.
Il se consacre en particulier à l'étude de José de Espronceda sur qui il a fait sa thèse de doctorat, mais a également étudié le théâtre de Cervantes.
Il a travaillé pour de grands magazines de internationaux et traduit Alberti (La pollution visuelle , le trèfle de floraison, d'un moment à l' autre, Sermons et violet, je suis un fou ... The Grove Lost), Juan Goytisolo et Luis Goytisolo, Pio Baroja, Valle-Inclan, Galdos, Carlos Fuentes, Octavio Paz, Max Aub, Guillermo Cabrera Infante, Josep Palau i Fabre, Luis Cernuda et Pere Gimferrer.
Il a dirigé la publication dans la Bibliothèque de la Pléiade des trois volumes du Théâtre espagnol du XVI siècle et le Théâtre espagnol du XVII siècle (I et II).
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Citations et extraits (2)
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Celui-là parle le mieux qui sait le mieux se taire. (p. 960)
LA VIE EST UN SONGE.
LA VIE EST UN SONGE.
BELTRÁN : J'étais un jour à Madrid au milieu d'un cercle de gens qui avaient la langue si bien pendue qu'elle n'épargnait pas même le père qui les avait engendrés ; quand l'un d'eux s'éloignait, ceux qui restaient disaient de lui plus de mal encore qu'il n'en avait dit aux autres. Me rendant compte de ces façons, j'eus peur des médisances. Je me tins coi alors jusqu'à ce que tout le monde fût parti. Mais mon astuce ne me servit à rien : dès qu'ils se furent éloignés, ils firent cercle à part à seule fin de médire de moi. Si le médisant considérait qu'on lui dit aussi du mal de lui, en trouverait-on un seul pour tout l'or du monde ?
Juan Ruiz de Alarcón y Mendoza, LES MURS ONT DES OREILLES, Acte II.
Juan Ruiz de Alarcón y Mendoza, LES MURS ONT DES OREILLES, Acte II.
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