La routine de la vie de caserne était également pour moi une grande source de plaisir. Je croyais savoir ce que c'était que la routine, parce qu'à la maison nous avions de heures très régulières. Mais j'étais encore loin du compte. A la maison, il y avait encore, de temps en temps, des périodes creuses, des moments vides. A la caserne, la règle était vraiment parfaite. Le maniement d'armes, surtout m'enchantait. J'aurais voulu que toute la vie pût se décomposer ainsi, acte par acte.
Page 73 (dans l'édition Folio)