Sur un petit sous-marin diesel, les choses ne sont pas si calmes, car il revient souvent à la surface, ou près de la surface, tant parce qu’il a besoin d’air pour le diesel et les hommes que pour épier des « proies » possibles. Le SNLE n’obéit pas à ces servitudes. Il fabrique lui-même son air. Il élimine ses pollutions. Et il se coule le plus discrètement possible dans les eaux les plus profondes sans jamais montrer le bout d’un périscope...