Il n’avait pas plu cette année. Les trois précédentes, les averses s’étaient succédé tout le mois de novembre, à tel point que j’étais aussi déprimé qu’un Anglais. Cette année ça avait été très inquiétant. Pas de pluie. Des jours et des jours e beau soleil, de ciel sans nuages. Et plutôt que la joie, ce temps apportait avec lui l’idée terrifiante que la planète avait subi des dommages irréparables.
(Robert Laffont, p.486)