Tout est dit sur la quatrième de couverture.
C'est une courte pièce de théâtre de deux actes qui colle étonnamment à l'actualité que vit l'Italie et l'Europe : l'arrivée de migrants sur le sol européen, notre peur de l'étranger.
L'histoire : un père, veuf depuis le suicide de sa femme et ses deux fils socialement favorisés. Lui est carabinier ; eux travaillent dans la finance à des échelons différents.
Le père se remarie malgré les doutes de ses fils sur la moralité de la jeune femme d'origine arménienne.
"Mariage (en) blanc" raconte le destin croisé de ces quatre personnages, liés par des sentiments et des émotions puissantes sous le regard fantomatique d'une morte : Clélia.
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