Marissa monta un étage. Son bureau – un nom bien flatteur pour ce qui était plutôt un débarras – se trouvait à l’étage au-dessus de la bibliothèque. C’était un cagibi sans fenêtre qui avait dû être un placard à balais dans le temps. Entre les murs de parpaing peinturluré, il y avait tout juste assez de place pour un bureau de métal, un classeur et un petit fauteuil tournant. Mais Marissa avait de la chance de l’avoir : l’espace vital était chèrement disputé au Centre.