Il lui arrivera plus d'une fois d'expliquer à son lecteur qu'il a dû se contenter d'écrire un ton au-dessous de ce qu'il aurait voulu faire. Ce n'est pas forcément de la fausse modestie. Il appartient à la génération où tout poète rêvait d'être un Homère. Mais personne, même Chapelain, n'y avait réussi...