L’âge mûr nous fait découvrir que nous avions adoré des idoles creuses. Alphonse Daudet, que j’ai eu le malheur de relire, comme je l’avais aimé ! Le souvenir de cet attachement est si fort qu’il me suffit de reprendre un des vieux volumes à reliure brune que j’ai toujours connus à la maison. J’oublie le contenu.