Oiseau violet emplumé
Une eau sur la grande main du songe, l'aboie-
ment derrière les arbres ; noire, nuit noire et la rose
déplie ses feux.
Une parole bientôt achevée ; le champ, l'odeur
des lilas, la muraille battue d'un vent contraire.
Nulle image, ombre des grands fonds, passe
de la pitié.
Je suis parti, mes os font un poids léger sur
la neige.