« Toutes les femmes de Bionnas connaissent ce délire rationnel, caractéristique de l’état intermédiaire entre la veille et le sommeil provoqué par le travail prolongé aux presses. Elle avait envie de lui dire « tais-toi », et peut-être de la cajoler jusqu’à ce qu’il s’endorme complètement. Elle ne le faisait pas, respectant son amour-propre d’homme. »