C'était toujours les mêmes hommes, toujours le même coeur qui battait dans ces poitrines affamées et pourtant, dans ces pays où tout poussait à profusion, les maisons, les voitures, les légumes, la viande et l'eau, certains les considéraient comme des personnes en détresse et d'autres comme des criminels. D'un côté les associations, de l'autre la police. D'un côté ceux qui les acceptaient sans leur demander de comptes, de l'autre ceux qui les renvoyaient chez eux sans sommation.