Ces croyances étaient célèbres : l'évêque savait que les hérétiques ne pouvaient en toute conscience réciter un Pater ou un Credo sans encourir les foudres de leur communauté et de leur anges. Pour le cathare, le corps humain était trop impur pour avoir le mérite d'invoquer verbalement le nom de Dieu ou de le prier dans une invocation sainte.