Mes désirs étaient autrefois comme des météores – fugaces, impérieux, méconnus. Au milieu de ces étendues sauvages, j’ai retrouvé la tranquillité, une certaine densité, un sens à ma vie. Je ne suis jamais seul. La nuit, le vent me chuchote des histoires. Et les livres ne me manquent point, car le ciel, sans cesse différent, est ma bibliothèque.