À force de côtoyer le grand maître en la matière, j’ai par exemple cerné que lorsque le mec mignon qui tient le pressing me demande mon numéro, il n’évoque pas ma place dans la file d’attente, mais mon portable. Et qu’un type qui fait des haltères sur Venice Beach et qui me propose de lui appliquer du monoï attend de moi un massage sensuel, pas une couche d’écran total épaisse et blanche.
Je suis vraiment au degré zéro du flirt. Je ne comprends pas les signaux qu’on m’envoie. Et quand je crois les saisir, en général, je me plante.