Je ne saurais quitter cette île fortunée sans renouveler ici les éloges que j'en ai déjà faits. La nature l'a placée dans le plus beau climat de l'univers, embellie des plus riants aspects, enrichie de tous ses dons.
La panique s’est propagée comme une vague, la fuite des premiers rangs entraînant celle des suivants...
... pour finalement Toucher l’arrière-garde. Tous ces enfoirés se sont tirés jusqu’au dernier en quatrième vitesse.
Quatre mille hommes fuyant devant quatre cents est un spectacle que l’on voit rarement...
Nous avons passé un nombre incroyable de rivières, à croire que la Sainte Russie en était truffée. La Grande Armée avait les bottes pleines d’eau et les Russes qui lui tiraient dans le cul.