Maudit soit Alexandre Graham Bell ! Il y avait quelque chose de sinistre, d'effrayant, de terrible, dans un téléphone. (...) Une nuit de sommeil, des jours de bonheur pouvaient dépendre de lui, sa sonnerie briser une vie ou déclencher le rire, réveiller les agonisants, apaiser les tensions qui envahissent le corps. On ne pouvait échapper à son omnipotence. Si vous possédiez - ou vous laissiez posséder - par l'une de ses formes allotropiques, votre sujétion était permanente.