La question que j’essaie de formuler, j’imagine, est celle-ci : jusqu’à quel point sommes-nous acteurs de notre propre destruction ? Quelle part de ce cauchemar m’est-elle imputable ? Il est facile de haïr et de protester. De se cabrer et de regimber. De commettre des actes désespérés et vains. Néanmoins, parfois, il faut savoir endosser ses fautes.