Nationalité : États-Unis
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Biographie :
Sable Hunter, de son vrai nom Rebecca Schaefer, est auteure de romance érotique.
Elle vit avec son mari à Austin au Texas.
son site : http://www.sablehunter.com/
Twitter : https://twitter.com/huntersable
page Facebook: https://www.facebook.com/authorsablehunter/
Sable Hunter, de son vrai nom Rebecca Schaefer, est auteure de romance érotique.
Elle vit avec son mari à Austin au Texas.
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Elle était complètement séduite par toute la famille et elle voulait vraiment voir Nathan de ses yeux. Quand elle arriva dans le salon, elle resta en arrière et examina la scène - étonnée par le niveau de testostérone dans la pièce. Elle déglutit nerveusement. On aurait dit que tous les beaux mecs du Texas s'étaient rassemblés en un seul endroit. Elle ne connaissait pas les noms et les visages, mais il était évident que c'était tous des McCoy. Et elle n'avais aucun problème à distinguer le meneur du groupe. Il était intimidant. Aron. Jacob confirma ses soupçons.
Libby se pencha vers lui, sa poitrine touchant presque la sienne-presque. Elle sentit ses mamelons se gonfler en signe de bienvenue. C'était comme s'il y avait eu une attraction irrésistible et gravitationnelle entre son corps et le sien. Timidement, elle leva les yeux vers lui. Les siens étaient d'une couleur bleue foncé comme des lapis-lazulis. Si elle avait été plus expérimentée sur les hommes, elle aurait pu croire que c'était du désir qu'elle apercevait dans ses yeux. Impossible. C'était Aron. Et elle était simplement...Libby.
— Alors, dis-leur de ne pas s'inquiéter, pendant tout le temps que je reste ici, je te chérirai. Et quand je serai partie, tu auras tellement pris l'habitude d'être aimé que tu retourneras tous les cactus et tous les cailloux pour trouver quelqu'un pour me remplacer.
Tandis qu'elle était en train de préparer le repas du midi de Nathan, elle soupesa ses options. Ce qu'elle voulait, elle ne pouvait pas l'avoir. Elle voulait Aron. Elle voulait un avenir. Libby voulait vivre à Tebow et avoir les bébés d'Aron. Libby voulait vivre.
Son grand corps recouvrirait le sien, tandis que son sexe dur s’enfoncerait entre ses cuisses. Rapidement, son corps fut en parfait accord avec son fantasme. Seigneur, elle était excitée. Ses mamelons étaient durs et gonflés. Et si elle ne se trompait, il y avait une tache humide sur sa culotte en coton – juste entre ses jambes. L’objet de sa convoitise se tenait là, insouciant, alors qu’elle le lorgnait. Elle laissa ses yeux remonter le long de ses jambes solides, passer les fesses fermes pour se poser sur ses épaules qui semblaient assez larges pour supporter n’importe quelle tempête.
Un jean moulant épousait un petit derrière en forme de cœur comme un emballage de bonbon qu’il voulait dénuder avec ses dents. Ses jambes étaient longues, et l’unique chose à laquelle il pouvait penser, c’était ce qu’il ressentirait s’il les avait enroulées autour de ses hanches. Un tee-shirt rouge ajusté proclamait : Pur miel – Doux comme le sucre, doublement addictif. Les implications de ces mots le mirent pratiquement à genoux devant elle. Il était prêt à parier qu'elle aurait le goût du miel le plus pur et le plus sucré.
Tout ce qu’elle voulait, c’était se cacher derrière quelque chose, mais il n’y avait nulle part où aller. Ces gentilles personnes avec leurs habits du dimanche bien repassés et leurs sourires trop grands n’allaient pas la ramener chez eux. Personne ne le faisait jamais. Elle était indésirable. Et ce n’était pas parce qu’elle était trop âgée, bien qu’elle soit presque une adolescente, mais parce qu’elle était sale. Et c’était le genre de saleté que vous ne pouviez pas nettoyer.
Patrick ne comprenait pas ce qui s’était passé. Il ne savait pas qui elle était ; il savait seulement qu’ils s’étaient connectés d’une certaine façon. C’était étrange, mais il ne s’était jamais senti plus aimé ou plus paisible que lorsqu’il la regardait dans les yeux. Bon sang, ce devait être une sorte d’hallucination. Mais il y avait une chose dont il était certain. Il ne l’oublierait jamais, Ô grand jamais. S’il devait faire un vœu, ce serait qu’elle soit sa destinée.
C’était un horrible sentiment. Ce n’étaient que des rêves, il le savait, mais il ne pouvait pas oublier la nuit avant que ses parents meurent dans cet accident d’Amtrak ; il avait rêvé de deux trains qui entraient en collision – exactement comme dans ces vieux films où deux personnes s’embrassaient en un simulacre de l’impact de ces deux vieilles machines à vapeur qui se fracassaient.
Bon sang, il était prêt pour des rêves agréables qui deviendraient réalités.
Bon sang, il était prêt pour des rêves agréables qui deviendraient réalités.
Elle essayait d’être heureuse. Elle chantait et inventait des histoires pour s’occuper. Et elle lisait tout ce qui pouvait lui tomber sous la main. Sa mère d’accueil lui apportait des livres que la bibliothèque jetait. Ou du moins, c’était ce qu’elle lui disait. Qu’ils jettent d’aussi bons livres était un mystère pour Savannah. Elle aimait penser que le bibliothécaire s’en moquait qu’elle les touche.
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