D’un coup de reins, je prends possession de ce qui m’appartient. Brutal, je la pénètre sans douceur et laisse l’animal sauvage qui est en moi, atteindre sa proie en profondeur pour n’en faire qu’une bouchée. J’absorbe son souffle et grogne contre ses lèvres.
– Tu es à moi Kathy…
– Je suis à toi Clay… Je serai toujours à toi, gémit-elle.