Il y avait chez Madame la Philosophe un fond de stoïcisme masochiste et, par mauvais temps, on la trouvait souvent dehors, ignorant le vent et le crachin ou plutôt les acceptant comme d’authentiques représentants de l’hostilité croissante de la terre à l’égard de ses occupants, assise sous le feuillage d’un vieux chêne lisant un livre détrempé d’Unamuno ou de Camus.