Maria est facile à vivre, gentille, a du ressort. Je ne peux m'empêcher de penser qu'elle est armée pour la vie, capable de résister aux coups du destin et aux circonstances inclémentes, et ainsi de suite. Elle ne peut sans doute même pas s'imaginer dans la situation de quelqu'un comme moi, qui suis plus mal armée, ne peut s'imaginer errant dans une forêt, où je bute contre les arbres, les buissons, et ainsi de suite, les fourrés épineux et autres végétaux, probablement. (p. 32-33)