J'ai lu le premier volume de "Du côté de chez Swann", et je le trouve étrangement inégal. Il y a des choses incomparables - Bloch, Françoise, Tante Léonie, Legrandin, et puis des passages qui sont d'une méticulosité pénible, artificiels et presque malhonnêtes. Il est difficile de savoir quoi en penser. Il maîtrise si absolument sa forme qu'il en devient le plus souvent l'esclave. Certaines de ses métaphores illuminent une page entière comme une brillante explosion, et d'autres semblent obtenues laborieusement