La tristesse... Elle déferle parfois. Peut-être plus souvent que je ne le crois. Des fois, je pense que c’est de la gêne, ou de la honte. Peut-être que c’est toujours de la tristesse. Ou peut-être que je dis n’importe quoi. Je suis heureux pour Dougie, je suis heureux pour mon frère. Pour Yohan, dont la relation avec Josiane dure depuis trois ans déjà. Si seulement j’avais pu réussir à désirer Amélie... Immanquablement, je repense à William et à sa déclaration : « Je veux un chum. »