Nous sommes tous tellement différents face à l'injustice du handicap, personne n'est préparé. Nos vieilles douleurs refont surface et nous poussent parfois à fuir. Pas forcément par lâcheté, mais simplement parce que nous sommes pas assez solides pour accepter l'idée de laisser vivre en nous une certaine tristesse, le deuil d'une vie révée, de l'enfant parfait.