Voilà comment les gens survivent, en comblant un vide à la fois pour une infime gratification temporaire, et en recommençant jusqu’à ce que la saison se termine et qu’ils finissent par mourir, par se dessécher sur le mur ou l’allée, dans leur crevasse sombre. Voilà comment la vie est rongée de l’intérieur, épuisée par les efforts onéreux pour la vivre.