Laissez-moi vous dire que c'était drôlement compliqué. Pas de réaliser le portrait d'Hydrophile, mais de ne pas pleurer.
En dessinant ses oreilles, je me suis rappelé qu'elles pivotaient dès qu'on ouvrait une boîte de conserve, et mes yeux se sont remplis de larmes.
En dessinant sa fourrure duveteuse, je me suis souvenue à quel point elle était douce à caresser, et les larmes ont roulé sur mes joues.
En dessinant ses moustaches, je l'ai revu se promener avec des petits flocons de poussière accrochés au bout, et j'ai failli tomber de ma chaise tellement je sanglotais.