Je savais pourtant que je ne devais pas tendre l'oreille. Je n'étais pas de ces filles qui encaissent les remarques les unes après les autres sans broncher. J'avais ce défaut stupide de prendre à coeur les critiques. Et c'était peut-être pour ça que j'avais peur des jugements. J'avais peur de ne pas savoir m'en remettre seule si j'étais blessée trop profondément.