Au milieu de cela, Larenz épuisait toutes les forces qui lui restaient à empêcher que l’insupportable certitude qu’il portait en lui remontât jusqu’à sa conscience. La vérité était déjà évidente. Elle était là, devant lui, tel un noyé qui n’aurait été séparé de ses sauveteurs que par une fine couche de glace. Mais cette glace, Viktor Larenz n’était pas prêt à la briser.
Du moins pas encore.