— C’est évidemment VOUS qui êtes fou, ajouta-t-elle.
Elle ignora sa voix intérieure alarmée, qui lui conseillait de ne pas provoquer davantage cet homme manifestement malade mental.
Malgré l’insulte, Blankenthal ne parut pas fâché. Plutôt résigné. Il acquiesça d’un air triste et reposa le sac qui, elle l’espérait, contenait des vêtements de rechange dégottés après son évasion. À moins qu’il ne soit plein de scalpels, de scies et d’agrafeuses chirurgicales.
— Je suis navré que vous ayez entendu ces ragots sur mon compte.