Gilles écrivait aussi, pas seulement de la poésie. Des proses. Un exercice, un entraînement de haut vol. Il retirait de ces pages écrites tard dans la nuit une plus grande sensibilité aux autres, à lui-même comme être humain, il voyait mieux, il écoutait mieux, il goûtait mieux, dans la surprise d’une langue qui semblait tout comprendre. Après, le monde brillait davantage…