Dans l'esprit des maîtres chinois, le blanc du papier et le noir de l'encre suffisaient, à l'instar du zéro et du un, pour figurer l'univers entier, avec ses bruits, tout le registre de ses couleurs, ses parfums, sa sécheresse et son humidité, ses froidures, sa touffeur, et chacune de ses qualités infinies.