- Ô Poséidon, dieu des océans, toi qui règnes en maître sur les profondeurs marines, prends pitié de nous et tourne ton sceptre vers les flots pour que nous puissions toucher les rives de l’île des bienheureux avant demain, jour de solstice.
- Joliment tourné, mon bon Sarhan, mais je crois plutôt que c’est Éole, le maître des vents, qu’il faudrait prier !