Quand je pense aux conséquences négatives de la société d'abondance, je pense à la vie de tous les jours, à la santé, au travail, à l'amour, à la solidarité communautaire, au bonheur, tout cela qui ne s'achète pas ou, quand on croit pouvoir l'acheter, coûte finalement trop cher, car on doit sacrifier le meilleur de sa vie à gagner de quoi le payer.
En se lançant à corps perdu dans le "progrès", le développement" et la production de biens de consommation toujours plus abondants, nos sociétés ont fait fausse route (...), il y avait dans les façons ancestrales de vivre des éléments de grande sagesse que nous pourrions retrouver