A partir du symptôme nous fûmes conduits vers l'inconscient, vers la vie pulsionnelle, vers la sexualité. C'est à ce moment que la psychanalyse s'entendit spirituellement objecter que l'homme n'était pas seulement un être sexuel, qu'il connaissait aussi de plus nobles et de plus hautes émotions. N'aurait-on pu ajouter à cela qu'animé par la conscience de ces émotions élevées, il s'accordait souvent le droit de penser des sottises et de nier l'évidence ?