Derrière cette parure, entre les guirlandes de roses rouillées, sous le verre poussiéreux et la fumée bleue d’une cigarette anglaise, un visage, celui qu’une jeune fille blonde, aux yeux gris, aux pommettes de Kirghize, au long cou de vierge maniériste, Nathalie Tcherepakine, que sa mère avait rebaptisés « Taïné » en souvenir d’un chien de Tenerife qu’elle aimait enfant…