L’écriture d’EVA, ce travail d’élaboration d’une figure romanesque à partir d’une figure vivante que j’avais d’abord élaborée comme un personnage romanesque avant de la retrouver en réalité, me débarrassait de cette impression désagréable qui me prenait naguère lorsque l’objet de mes préoccupations me paraissait s’échapper de mon influence.