Dans son journal intime, il a écrit depuis longtemps qu'il régnait dans la rue une atmosphère de perversion paresseuse. Ils n'ont même pas assez d'énergie pour commettre une impiété telle qu'elle les conduirait direct en enfer. Mais pour boire, pas de problème, tromper l'autre, jurer, brandir un couteau, corrompre les enfants, se disputer, puis ça les fatigue, ils se réconcilient. Ils volent aussi. Et si un étranger débarque, ils le pervertissent, il suffit de voir Tarcsai.