D’un sombre recoin enfoui dans la poussière, un nouveau monde de beauté a éclos. Un monde connu de tous, mais que personne n’avait su voir auparavant. Je veux parler de la beauté de l’objet ordinaire. Elle lui a été donnée par la patine, l’usage, la caresse. Plus il est utilisé, plus il est beau, plus il est beau, plus il est aimé, plus il est aimé, plus il est utilisé. Là réside la relation infinie qui lie l’être humain et l’ustensile. L’ustensile est au chaud dans la main qui l’utilise, l’humain le tient avec amour, tous deux passeront cette journée ensemble.