Le destin. Quelle belle connerie ! C'était l'excuse idéale de toutes ces personnes qui n'avaient pas l'audace de prendre leur vie en main. [...]. Ça rassure, de se dire que nos misères sont écrites et inévitables, il ne faudrait surtout pas qu'on s'imagine qu'on aurait pu être heureux si on s'était donné la peine de se bouger les fesses. Non, ce n'est pas notre faute. C'est la faute du destin.