Mais une odeur avait le pouvoir d’adoucir tous ses chagrins. Une seule. Celle de la mer. Changeante selon les marées, l’orientation des vents, les saisons. Emplie d’iode, de sel, de goémons, où elle décelait même le parfum du sable mouillé, des oyats et de l’herbe tendre qui bordait les falaises.