On ne peut pas dire que mon existence soit un écrin de béatitudes, mais elle ne m'apparaît pas non plus comme un lourd fardeau. C'est plutôt un bain moussant qui tiédit et qu'on hésite à quitter car on s'y est trop alangui. Malgré la peau qui se fripe. Malgré la mousse qui s'étiole et nous signifie qu'il faut sortir.