Il faut lâcher prise, laisser nos morts marcher devant et vivre en nous, les fenêtres grandes ouvertes. Et tant pis si parfois ça claque.
Ceux qui restent continuent de faire exister ceux qui sont partis. Gabriel et moi prolongeons l’histoire de Charlotte et, de fait, elle nous autorise, lui comme moi, à poursuivre le chemin.