La pensée solitaire bouillait dans une marmite éloignée de la vie. De petites âmes chétives, émissaires effacés du Grand Mal, sans lequel il n’y aurait pas d’Existence en général, préparaient insensiblement la décoction infernale dont on avait décidé, dans les mondes subconscients et quelque part encore dans la lointaine lignée des ancêtres, d’empoisonner l’ «organisme » du jeune Kapen, idéalement créé pour d’autres conditions. Rien à faire.